Nicolas Gill portant la drapeau du Canada CP PHOTO RYAN REMIORZ
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« C’est un honneur incomparable de porter le drapeau et de défiler dans le stade en tête de tous les athlètes canadiens. J’ai ressenti quelque chose d’encore plus fort que pour ma première expérience olympique à Barcelone. J’avais beau être plus âgé et participer à mes quatrièmes Jeux, le fait d’être porte- drapeau a placé la barre encore plus haute. » — Nicolas Gill
Du 12 au 28 août 2004
Texte et entrevue par Marc Delbès, Conception par Tammy Hoy
Laissez-moi vous raconter mes souvenirs de ces moments
Je suis Nicolas Gill, judoka. En 2004, j’en suis  à mes quatrièmes et derniers Jeux olympiques. Mon parcours olympique est déjà jalonné de  deux médailles, une de bronze en 1992 à Barcelone et une d’argent à Sydney en 2000. Pour mon chant du cygne olympique, j’ai eu le privilège d’entrer dans le stade d’Athènes à la tête de l’équipe canadienne composée de 266 athlètes.
Je me souviens de mes Jeux d’Athènes
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Je me souviens de mes Jeux d’Athènes
Texte et entrevue par Marc Delbès     Conception par Tammy Hoy
« C’est un honneur incomparable de porter le drapeau et de défiler dans le stade en tête de tous les athlètes canadiens. J’ai ressenti quelque chose d’encore plus fort que pour ma première expérience olympique à Barcelone. J’avais beau être plus âgé et participer à mes quatrièmes Jeux, le fait d’être porte-drapeau a placé la barre encore plus haute. » — Nicolas Gill
Je suis Nicolas Gill, judoka. En 2004, j’en suis à mes quatrièmes et derniers Jeux olympiques. Mon parcours olympique est déjà jalonné de  deux médailles, une de bronze en 1992 à  Barcelone et une d’argent à Sydney en 2000. Pour mon chant du cygne olympique, j’ai eu le privilège d’entrer dans le stade d’Athènes à la tête de l’équipe canadienne composée de 266 athlètes.